Soumis d'Yvan GAY

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il y a 8 ans

Soumis d'Yvan GAY

Partie 1

J'ai commencé à vivre tout seul à Lyon tout de suite après le bac. J'avais 18 ans depuis quelques semaines et je m'étais inscrit en fac et mes parents avaient été mutés outre-mer. Certes, j'étais un peu jeune et inexpérimenté mais je me débrouillais bien. Dès septembre, au retour des vacances, j'ai commencé à fréquenter un groupe de copains homos un peu plus âgés. Je les avais rencontrés dans un bar gay et, même si je faisais figure du "gamin" de la bande, je les suivais dans leurs soirées avec plaisir. J'étais vraiment le plus jeune. Pour tout vous dire, je n'étais encore pas majeur et j'étais assez innocent sexuellement. Je n'avais eu que des expériences très furtives. Quelques pipes, pas encore de sodomie. Mes copains d'alors n'osaient pas me draguer ou alors je ne leurs plaisais pas. Il faut vous dire que j'ai fait ado assez longtemps et que je commençais juste à m'épanouir un peu. Je ne suis, encore aujourd'hui, ni très sportif ni très athlétique. Je suis un petit mec lambda aux cheveux blonds. A cette époque, au début des années 90, j'étais déjà comme ça. J'avoue que j'étais un peu jaloux des uns et des autres qui collectionnaient les conquêtes.

Un soir, Marc, un des mecs de la bande m'appelle pour me proposer une soirée chez Bertrand, un de leurs copains que je connais un peu. Nous sommes en septembre et je n'ai pas encore repris les cours. A chaque soirée, j'espérais rencontrer un mec et pourquoi pas atterrir dans son pieu mais niet ! Ce soir-là ne ferait sans doute pas exception à la règle. Ils me considéraient comme un gamin et je ne les intéressait pas, il fallait bien m'y habituer. Je me mets quand même sur mon 31. Enfin ce qui l'était à cette époque. Petit pull col V, jean 501 que j'avais choisi assez moulant car quand même, je suis assez fier de mon cul. J'ai l'impression que je n'ai que cela de bien donc je le mets en valeur. En ce début des années 90, nous avions tous des looks hypra classiques. Très "Blur". En tout cas, moi, j'étais le gentil garçon BCBG propre sur lui. Je pense que certains me surnommaient "le petit bourge". Ca m'agaçait au plus haut point mais je faisais avec.

Je monte dans la voiture de Marc et nous nous rendons dans le septième arrondissement, dans un immeuble moderne pour rejoindre Bertrand et ses copains. En fait, nous sommes les derniers ou presque et la fête bat son plein lorsque nous arrivons. C'est un apéritif dînatoire dirait-on maintenant. Je ne connais personne à l'exception de Marc et de Bertrand. J'enrage un peu. Je pensais qu'il y aurait quelques membres de notre bande de copains mais non. Une assemblée d'une dizaine de mecs qui parlent entre eux et ne me regardent pas.

Comme d'habitude, je suis largement le plus jeune et je m'apprête à prendre congé un peu tôt lorsque, près du buffet, l'un des mecs vient me parler. Il est assez grand, carré, barbu, il a dépassé la quarantaine. Il est plus viril que tous les autres réunis. Je l'ai bien remarqué quand je suis entré mais il rigolait avec les autres alors je n'espérais pas du tout qu'il vienne me parler. Pourtant, il est là, à côté de moi et il me sert un verre de S a n g ria (à l'époque, j'avais horreur de ça mais je l'ai accepté poliment). Sa conversation est banale mais son regard brun, intense me pénètre, me séduit, me fascine. Ses mains puissantes, ses avant-bras, tout son corps n'est que virilité et sensualité. Il n'entre pas du tout dans les canons de beauté de l'époque (tout au moins dans le milieu gay lyonnais) mais il me plaît énormément.

Nous passons la soirée à discuter, oubliant un peu les autres. J'ai envie de me blottir contre son torse, j'ai envie qu'il m'invite à finir la nuit chez lui, j'ai envie de sa queue. Je voudrais tant lui plaire. J'ai presque l'impression que c'est chose faite mais nous échangeons juste nos numéros de téléphones quatre heures plus tard.

Vers 1h Bertrand est fatigué. Il travaille le lendemain et me propose de me raccompagner. A contre-coeur, j'accepte. Je n'oserai jamais appeler le mystérieux Yvan. Il me dépose un bisou sur la nuque en guise d'au-revoir. Je crois que je viens d'avoir un coup de foudre pour un mec qui a 25 ans de plus que moi. Dans la voiture Bertrand me met en garde : Yvan est bizarre, un peu malsain. Il n'est pas pour moi. Je le laisse dire en pensant que de toute manière je ne le reverrais jamais... Comme je me trompe. Je vais vivre avec lui une histoire intense, une histoire de dépendance pas tout à fait saine c'est vrai mais qui va à la fois me combler et me déstabiliser. Je ne sais combien de fois je me suis masturbé en imaginant sa bite. Je ne le sais pas mais je viens de rencontrer mon maître es-sexe dans tous les sens du terme...

Les jours qui ont suivi, la carrure massive, les mains puissante et le petit air cynique d'Yvan alimentaient mes fantasmes. Je m'étais masturbé souvent en pensant à lui mais il était resté silencieux. Je me souviens m'être dit que ça valait mieux comme ça mais les mots de Bertrand disant qu'il était "malsain" me trottaient dans la tête. Qu'entendait-il par là ? De toute manière, j'étais persuadé que l'homme de mes pensées était resté insensible à ma jeunesse. Je ne le reverrai sans doute plus avant longtemps.

Je pensais cela depuis plus d'une semaine lorsqu'il m'appela enfin le samedi matin suivant. Son ton était dur et autoritaire. Il faut vous dire que j'ai toujours aimé les hommes qui décident. Peut-être parce que je n'ai jamais vraiment eu de modèle paternel (mon père étant toujours en déplacement) mais ne faisons pas de la psychologie de bazard. Yvan alla droit au but :

  • Salut c'est Yvan. Tu as envie de te faire sauter cet après-midi ?

J'eus un temps d'hésitation. J'étais tout à fait vierge de ce côté là et la perspective de commencer avec ce gars-là me faisait un peu peur. Pourtant, sentir ses mains sur moi, être contre son torse me faisait envie. J'ai eu soudain peur de lui avouer mon inexpérience. Mon silence l'agaça.

  • J'ai cru que t'avais envie.

Je lui avouais tout. J'étais complètement puceau en ce qui concernait la sodomie. Il rit à l'autre bout du fil.

  • Il faut bien commencer un jour. Dit-il. Je ne suis pas un mauvais prof.

  • Quelle heure ? Demandais-je timidement.

  • 15 h.

Il me donne l'adresse et je suis surpris de constater qu'il habitait assez prêt de l'appartement de mes parents que j'occupais depuis leur départ en Nouvelle Calédonie. Nous raccrochons. Ma nervosité est à son comble. Je tremble en prenant une douche et en me nettoyant le plus possible. Je ne veux aucune déconvenue. Je me mets à penser qu'il est sans doute assez bien monté et que je vais avoir mal. Je chasse cette pensée de mon esprit rapidement. J'en ai envie. Je n'ai pas osé lui avouer que j'étais plus jeune qu'il le pensait et je me dis que ça n'avait aucune importance. Je mange brièvement et attends l'heure fatidique tout en choisissant ce que je vais porter. Il fait encore chaud alors j'enfile un polo, un boxer, un jean et des baskets.

Je ne veux pas faire trop endimanché. Une demi-heure avant le rendez-vous, je saute dans le métro, tremblant de peur et de désir. J'arrive très en avance sur les lieux. Je ne veux pas qu'il m'aperçoive par la fenêtre alors j'attends, le coeur battant, que l'heure tourne. A 15 h pile, je sonne à la porte. Sans cérémonie, il m'ouvre. Il habite un très grand appartement décoré avec goût à l'exception de coupes et de trophées qui trônent dans le hall d'entrée sur des étagères.

Yvan est encore plus sexy que dans mon souvenir. Il porte un pantalon de survet Adidas bleu et blanc que je devais revoir souvent par la suite et un marcel. Je remarque ses biceps. Il est puissant, musclé comme un lutteur. Je me demande si c'est le sport qu'il pratique mais il ne me laisse pas trop le temps de respirer et m'attire à l'intérieur. Il m'embrasse. Fort, en me maintenant, en enfonçant sa langue dans ma bouche. Sa barbe contre mon visage a un contact agréable. Il me ploie pour me faire mettre à genoux après avoir enlevé mon polo. J'obéis.

  • Je te préviens j'aime les mecs soumis. Faut que tu obéisses.

Je ne discute pas. Je suis à genoux devant lui alors qu'il baisse son futal. J'avais pensé qu'il était bien monté mais je n'avais pas réalisé qu'il pouvait l'être autant. Je transpire, un peu paniqué à l'idée que je ne vais jamais pouvoir être baisé par un tel engin. Je le lèche, le suce, lèche les bourses, le pubis. Je tente de l'exciter pour qu'il jouisse avant le moment fatidique mais il a de l'expérience. Il me relève et m'embrasse à nouveau.

  • Fous-toi à poil et suis-moi.

J'enlève maladroitement mon pantalon et mon boxer ainsi que mes chaussures et mes chaussettes et je le suis dans sa chambre. Le lit est immense. Il me pousse dessus. Je tremble un peu et il me fait sucer à nouveau puis se retire de ma bouche et commence à examiner mon anus avec son doigt. Il fait un commentaire sur le fait que je suis serré. Je sais que je vais y passer. Pas le choix. J'en ai envie mais j'ai peur.

  • T'es vraiment puceau ?

  • Oui

  • On va mettre du gel pour cette fois alors.

Il m'écarte les jambes et tartine mon trou avec du gel qu'il a prévu sur la table de chevet. Il enfile une capote et commence à entrer son gland en m'ordonnant de me détendre. Il me prend par la taille pour me maintenir et progresse en moi. Je ne crois pas y avoir pris du plaisir à ce moment-là mais l'homme est adroit et il ne me fait absolument pas mal. Il est en moi et il commence à aller et venir. Comme par enchantement, je me relâche et je commence à prendre vraiment du plaisir. Je gémis. Il a comme un petit sourire mauvais. J'ai envie de m'accrocher à lui, de l'embrasser mais il me repousse avec son avant-bras. Dès la première fois, j'ai compris qu'il voulait tout contrôler. Je gémis encore et il me touche à peine. J'inonde mon torse. Je suis tout à fait relâché. En mec expérimenté, il se retire, ôte la capote et jouis sur mon visage. Il se laisse retomber lourdement à côté de moi. Très franchement, j'avais peur mais j'ai adoré. Je le lui dis timidement. Il sourit. "On recommencera, t'inquiète. Ca m'a plu aussi. T'es très attirant."

Il me tends une serviette pour essuyer mon visage et mon torse. J'ai envie d'une douche mais je n'ose pas le lui demander. Je me blottis contre lui comme un petit animal. Il pose son imposante main sur ma tête.

  • Alors, je t'ai pas fait mal ?

  • Non...

  • Tu as envie qu'on se revoit ?

  • Oui j'aimerai beaucoup.

  • Je te préviens si on se voit régulièrement, il faudra m'obéir. Je suis dominateur et très sévère. Tu devras faire tout ce que je te dis.

  • Je l'ai compris.

Il me sourit un peu tendrement. Ca n'arrivera plus beaucoup je pense pendant les 8 ans où nous allons nous fréquenter. J'imaginais qu'il était autoritaire, un peu tyrannique mais j'étais attiré par ce mec de 25 ans mon aîné comme je ne l'avais jamais été. Il me faisait peur mais j'aurais fait n'importe quoi pour lui. C'était un coup de foudre charnel tout au moins. J'étais loin d'imaginer qu'il allait m'asservir totalement. Et pourtant..

Partie 2

Très rapidement, je devins accroc à nos rendez-vous. Dès le second, je compris qu'il ne fallait pas que je réclame quoi que ce soit. Yvan s'était posé une fois pour toute comme mon seigneur et maître et il décidait de tout. J'avais juste le droit d'obéir. Je devais :

  • Être à l'heure et surtout pas en retard

  • Le tenir informé de mon emploi du temps sitôt la rentrée universitaire effectuée

  • Ne parler que s'il m'y invitait s'il y avait quelqu'un chez lui

  • Être à l'écoute du moindre de ses désirs sexuels matérialisé par des ordres

Tout manquement m'exposait à une punition. Le mot était lâché mais je ne savais pas vraiment à quoi il correspondait. La seule chose qui m'importait était de lui faire plaisir afin qu'il ne me largue pas. Je supposais qu'il avait eu des dizaines de petits amis et que, franchement, je ne faisais pas le poids.

J'ai été très flatté lorsqu'il m'invita à l'improviste pour un dîner en semaine pour me présenter Laurent. Ce dernier était son meilleur ami et j'en avais déjà entendu parler. Nous "étions ensemble" depuis environs trois semaine lorsque cela se produisit. Ca me faisait d'autant plus plaisir que cette ébauche de relation m'avait un peu coupé de tous mes copains de l'été. Je me rendais compte qu'Yvan désapprouvait que je les fréquente sans son autorisation. Je m'y étais plié de bonne grâce mais, avec mes parents dans l'hémisphère sud, mes frères à Paris, je me sentais un peu isolé. Ce dîner tombait à pic. En plus, ce n'était que le début de l'année universitaire et je suivais très bien sans trop me f o r c e r. Je pouvais donc m'accorder cette récréation.

Je m'habillai très correctement et sautai dans le métro. J'espérais un peu qu'une fois le dîner fini, Yvan me proposerait de rester dormir. J'arrivai à l'heure comme toujours et il me fit rentrer. Laurent était déjà là. Un peu plus jeune que lui, il avait un peu le même style, grand, brun costaud mais pas de barbe. Très sympa, il vit tout de suite que j'étais timide et me fis participer à la conversation en me posant des question. Ma gène semblait amuser Yvan plus que d'habitude. Il m'ordonna d'aller mettre la table dans la salle à manger. Je savais où tout se trouvait donc je filai comme l'éclair. Là, une conversation entre les deux copains commença :

  • Tu as vu son âge ? Il est gentil et intelligent mais tu espère quoi ?

  • J'espère le formater. Il est très malléable ce qui n'est pas le cas avec les mecs plus vieux et puis il est mignon. Je vais l'initier à toutes les formes de baise. Il est open. J'ai très envie de le pousser pour qu'on fasse du SM. Ca me manque.

  • Tu crois que ça ne va pas le traumatiser?

  • Il fera bien ce que je voudrais.

J'avais terminé mon travail et entendu la totalité de la conversation. Je savais comment était Yvan mais le SM me faisait peur. Pour me rassurer, je me dis que ce n'était que le prolongement logique de notre relation. Le repas se déroula dans une ambiance sympathique. Je me risquai même à accepter un verre de vin alors qu'à l'époque, je ne buvais pas d'alcool du tout.

Mes attentes furent récompensées car lorsque Laurent eut pris congé, Yvan me jeta par terre et m'arracha mes vêtements. Il m'enfonça sa bite au fond de la gorge en me disant que j'allais morfler (une de ses expressions favorites). Puis il me déshabilla en soulignant le fait que pour ce genre de dîner, je n'avais aucun besoin de sous-vêtements. Il me chargea sur son épaule lorsque nous fûmes nus comme des vers et me jeta sur le lit comme l'aurait fait un homme de cro-magnon. J'adorais ça. Il commença à me bouffer le cul car il savait qu'après ça il pourrait entrer en moi facilement. J'étais à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans les coussins lorsqu'il me pénétra sans gel, sans capote (nous avions passé ce stade même si ça me faisait encore peur) et commença à me défoncer sans aucun ménagement. Quand il sentit le sperme monter, il lâcha mes mains pour m'autoriser à me masturber. J'avais peur d'éjaculer sur le lit et de me faire engueuler mais il m'y obligea et déchargea en moi. Il resta un moment allongé sur moi, le sexe encore raide puis se dégagea, jeta le couvre-lit par terre et me fit m'enfoncer dans la couette à ses côtés. Je me dis que j'étais très amoureux. Il me dit sèchement qu'il y avait une clef pour moi dans la cuisine car il devait partir tôt le lendemain. Je fus même autorisé à faire comme chez moi.

Le lendemain matin, lorsque je m'éveillais, il était déjà parti. La chambre était en ordre. J'avais du avoir un sommeil un peu lourd car je n'avais rien entendu. Dans la cuisine, le café m'attendait dans le four à micro-ondes ainsi qu'un croissant et la clé dont il m'avait parlé. A côté de la clé se trouvait une petite revue d'annonce SM appelée Markus. Je suis certain qu'il l'avait laissé là pour que je vois ce qui m'attendait dans les prochaines semaines. Je la feuilletai avec nervosité et excitation.

Lorsque je repartis pour me changer chez moi, j'avais une impression curieuse. Le sentiment d'appartenir à Yvan et de ne pouvoir, quoi qu'il arrive, plus jamais m'échapper.

C'est courant octobre qu'Yvan me proposa d'emménager chez lui. De deux rendez-vous par semaine, nous sommes passés à quatre. J'avoue avoir été content car j'avais de plus en plus de mal à me passer de lui. Certes, il était autoritaire et pas souvent gentil avec moi mais je suis accroc à sa peau et à ce qu'il me fait. Nous avions passé de nombreuses nuits ensemble et je me sens prêt. Bien sûr, là encore, il y avait des règles. Je devais obéir en tout point. C'est donc un samedi matin qu'il débarqua chez mes parents pour m'aider à faire mon sac. Il m'a averti qu'il allait choisir chaque jour ce que j'allais porter. S'il ne trouvait pas pas ce qui lui convenait, il m'achèterait des vêtements car il était hors de question que ce soit moi qui décide. Je trouvais l'idée un peu saugrenue mais pourquoi pas finalement. Il arriva donc sur le coup des sept heures. J'ai eu envie de lui tout de suite. Il était en survêtement. Son corps et ses muscles massifs étaient particulièrement en valeur. Il sentait le gel douche. Il s'approcha de moi avec un air pas commode et me roula une pelle. Il fouilla le placard et la commode de ma chambre et choisit jean, tee shirts, pulls, blousons, boxer et chaussettes. Il m'autorisa a emmener avec moi deux paires de baskets et un peignoir en éponge. Mon sac terminé, il jeta un oeil pour voir s'il n'oubliait rien.

Il avisa mon sac et trouva qu'il était mal rangé.

  • Tu sais ce que ça signifie. Tu as menti, quand nous serons à la maison tu vas être puni.

Je ne répliquais pas du tout. Je savais qu'il attendait un faux pas de ma part pour me coller une fessée ou pire. J'étais seulement content qu'il ne me plante pas là avec toutes mes affaires et qu'il ne tourne pas les talons. Je tremblais. Nous nous sommes mis en route, avons repris le métro et sommes montés à l'appartement. Il ne disait rien. Il avait juste un air menaçant. Je me souviens avoir regardé ses paluches et m'être dit qu'il allait me casser en deux.

Aussitôt arrivé dans l'appart il m'ordonna de baisser mon pantalon et m'attira sur ses genoux. J'avais peur mais je me disais que la fessée était le moindre mal. Je m'exécutait. Je baissais mon jean et m'installait en travers de ses genoux. Le contact du tissus de son pantalon sur mon ventre, mon sexe et le haut de mes cuisses était désagréable, je glissais mais il me maintenait avec sa main sur ma nuque. Il commença à me frapper avec son autre main.

Il me faisait rougir les fesses. Elles me cuisaient. Je faisais un effort pour ne pas remuer. J'étais un peu excité bizarrement. Je savais qu'il ne fallait pas que je bande car il n'allait pas apprécier.

Il tapait fort. Ses mains avaient la puissance du reste de son corps. J'étais totalement à sa merci et je le savais. Je comprenais aussi que c'était les prémices de ce que j'allais vivre.

Je me souviens l'avoir trouvé attirant encore davantage dans cette situation. C'était un réel macho mais j'aimais ça. Mes fesses me cuisaient lorsqu'il me libéra. J'aurais souhaité qu'il me fasse sucer son sexe mais il n'en fit rien. Je l'avais pourtant senti qui durcissait quand il me corrigeait. Il m'ordonna de ranger mes affaires. Je me rhabillais et obéissait en utilisant les deux placards de la chambre d'amis.

  • J'espère que ça te servira de leçon. Je ne veux aucun manquement à la discipline. Tu dois obéir !

  • Oui Yvan, c'est promis.

Mon seigneur et maître alla préparer le petit déjeuner comme si de rien n'était. J'étais tremblant et le cul endolori lorsque je rangeais scrupuleusement mes vêtements.

Partie 3

Notre vie s'organisa tout au long du mois d'octobre.

Un martinet avait été offert à Yvan pour le cas où il aurait besoin de me foutre une nouvelle correction. Il ne s'était pas gêné pour raconter à Laurent qu'il m'avait puni.

Les semaines qui ont suivi furent calmes. La journée se déroulait toujours de la même manière : le matin, j'allais rejoindre Yvan dans son lit à 6 h 30 précise et je le suçais en m'appliquant pour le réveiller. Le petit déjeuner était prêt sur le bar de la cuisine. Il me "nourrissait", c'est à dire que je devais avaler jusqu'à la dernière goutte de son sperme. Il allait ensuite se doucher. Je devais mettre le chauffage dans la salle de bain environ une demi-heure avant qu'il ne se lève. Il y passait à peu près 20 mn pour se laver, entretenir sa barbe et s'habiller. Il ne tolérait pas souvent ma présence à ce moment-là donc, pendant qu'il prenait son petit déj, je me retirai dans la chambre d'amis qu'il m'avait allouée. J'étais un peu déçu au début car il ne m'autorisait pas très souvent à dormir avec lui et puis je me suis habitué. J'avais le droit de partager son lit le week end et pour des occasions spéciales, notamment quand les notes de mes partiels étaient exceptionnelles.

J'aimais l'apercevoir par la fenêtre en costard, allant jusqu'à sa voiture. Sa masculinité m'excitait particulièrement. Je pense que je l'admirais, que j'aurais voulu cesser d'être ce post-ado blond et insipide. Il se dégageait de lui une telle puissance physique et psychique aussi que je me sentais protégé.

Ma journée était toujours composée de la même manière. Je prenais une douche, déjeunais brièvement, enfilait les vêtements qu'Yvan avait préparé pour moi la veille au soir et je partais à la fac. Je n'étais pas autorisé à travailler dans l'appartement d'Yvan. Je devais donc le faire soit à la bibliothèque, soit dans l'appartement de mes parents dans lequel je faisais le ménage une fois par semaine.

Le soir, j'avais droit à un plan cul complet, quelques fois, Yvan ne se déshabillait même pas mais sortait juste son sexe que je devais sucer avant qu'il ne me la mette, de son pantalon de costume. J'adorais ça. J'avais attendu ce moment toute la journée.

Je n'avais pas non plus accès aux courses. Yvan s'en chargeait et ne me demandais jamais mon avis sur ce que je voulais manger. Parfois, nous avions une vraie relation de couple car j'entretenais l'appartement et je m'occupais de son bien être. Parfois, j'étais vraiment son esclave, il me donnait des ordres, me punissait s'ils n'étaient pas parfaitement exécutés à son goût. En ce premier mois d'octobre, outre la première correction, je reçus deux fois le martinet pour des bricoles... en tout cas des manquements à la discipline dont je ne me souviens pas.

Le plus bizarre était que j'étais à la fois angoissé et excité à l'idée de me faire frapper. Il y avait un érotisme certain dans sa manière de me dominer. La morsure du martinet, les marques qu'il engendrait, l'humiliation liée à la trempe que je prenais, tout cela me troublait et je devais faire des efforts pour ne pas bander sous les coups.

Yvan me présenta très vite à ses amis mais il s'arrangea pour que les miens ne me fréquentent plus qu'un court laps de temps pendant la journée. Il s'entourait de gens du milieu échangiste, pas f o r c é ment d'ailleurs des homos même s'ils étaient majoritaires. Toute sa vie tournait autour du sexe et de son boulot. Il aimait les saunas et les sex-clubs dans lesquels il rencontrait des partenaires. Je savais que je n'avais pas l'exclusivite et, bizarrement, ça ne me dérangeait pas vraiment. Il aimait aussi le milieu des pierceurs, tatoueurs et autres fétichistes du cuir mais, à cette époque-là, je ne les avais encore pas vus.

D'autre-part, à chaque visite de ses potes, j'en apprenait un peu plus sur lui, sur son passé de rugbyman professionnel, sur la provenance de son argent qui le faisait vivre plus qu'à l'aise. Il me fascinait.

Laurent venait à peu près tous les jours et je n'avais aucun doute sur le fait qu'un jour, je me retrouverai au pieu avec lui ou avec un autre mais, en ce premier mois de vie commune, Yvan voulait l'exclusivité même s'il ne se gênait pas pour souligner que j'avais un beau cul qui commençais à s'élargir avec le traitement auquel il était soumis.

J'avais l'impression d'être un objet mais je le vivais bien et l'acceptais. C'était le prix à payer pour que cette relation perdure. Très vite, je me suis conforté dans l'idée que j'étais soumis et que ça me convenait tout à fait. Ce n'était qu'un prélude et je crois que dès ces premières semaines, j'en avais conscience.

J'avais toujours pensé que si Yvan devait me prêter à un de ses copains, celui qui aurait la priorité serait Laurent. En effet, il venait chez nous presque tous les jours et entre eux, il n'y avait aucun tabou. Pourtant ce ne fut pas le cas. Je ne devais connaître le corps de ce dernier que bien des mois plus tard.

Je crois que c'était en novembre, Yvan m'informa qu'il allait héberger un de ses copains parisien, Sélim, et que j'allais devoir lui laisser ma chambre. Pendant une semaine, j'allais dormir avec mon maître. J'accueillis cette nouvelle avec enthousiasme (au moins intérieurement car je m'interdisais d'être démonstratif de peur que mon seigneur et maître le prenne mal). Je n'eu pas plus de détail mais lorsque Laurent et Yvan en parlaient, j'avais l'impression que notre invité était hétéro et seulement ça.

Le vendredi suivant, il débarqua à la maison. Yvan était allé le chercher à la gare. C'était ce qu'on appellerait aujourd'hui un rebeu. Je ne sais pas de quelle origine exacte il était mais je le pensais plutôt tunisien que marocain. Grand, environ 1m90, corpulent, barbu, il pouvait être assez séduisant mais j'avoue que ma première impression était assez désagréable. C'était le type même du noctambule frimeur. Il était vêtu de fringues de marques, portait des lunettes de soleil même à cette période de l'année ainsi qu'une énorme chaîne autour du cou. Je le trouvais assez vulgaire et j'avais du mal à comprendre ce qu'Yvan pouvait bien lui trouver.

Il s'installa donc dans ma chambre. Yvan m'ordonna d'aller chercher des bières et de leur les apporter. Je n'avais pas du tout l'habitude de discuter aussi, fonçais-je dans le réfrigérateur pour obéir. Une fois dans le salon, il me fit signe de rester et se lança dans une grande tirade :

  • Sélim est mon invité. Il peut exiger de toi tout ce qu'il veut et tu dois lui obéir comme à moi. S'il veut défoncer ton cul, tu le lui donne, s'il veut que tu lui suce la queue, tu t'appliques comme pour moi. Compris ?

Et, s'adressant au nouveau venu:

  • S'il ne te donne pas satisfaction tu n'as qu'à le punir, dans le second tiroir de la commode de ma chambre, il y a des martinets, des badines, des liens et tout ce dont tu peu avoir besoin. Tu n'hésites pas. Il doit t'obéir au doigt et à l'oeil.

Le lendemain matin, je n'avais pas cours et, après avoir remplis mes obligations auprès d'Yvan, j'allais donc me doucher. Sélim était sorti la veille en boite et je pensais qu'il allait dormir jusqu'à midi. Pourtant, j'étais en train de terminer de me raser lorsqu'il entra dans la salle de bain. J'étais totalement nu devant le lavabo et lui était en caleçon. Il était encore plus impressionnant que la veille. A côté de lui, Yvan, qui était pourtant une f o r c e de la nature semblait presque petit quand à moi, j'étais comme une brindille qu'il pouvait écraser entre ses deux doigts et j'en avais conscience.

Je dois avouer que l'idée de me livrer à lui me faisait peur. Depuis presque trois mois, je n'avais baisé qu'avec Yvan et j'avais une envie assez modérée d'un autre mec. En plus, une odeur mélangée de tabac et de transpiration émanait de lui. Il me regarda avec un air méprisant et me dit sèchement :

  • Viens me rejoindre au pieu, tu vas me sucer petite pédale, j'ai envie de me vider les couilles.

Je savais que je n'avais pas intérêt à discuter. J'achevais de me sécher et je me précipitais dans ma chambre nu comme un verre. L'odeur qui y régnait était encore plus désagréable. En plus du reste, un parfum bon marché flottait dans l'air. C'était inattendu et écoeurant. Il avait tout prévu. Il m'attacha les mains et les tira vers le haut pour nouer la corde au montant du lit puis se plaça devant moi. Il ôta son caleçon. Je n'avais jamais vu de sexe circoncis avant lui. Il était déjà raide et j'ouvris la bouche afin qu'il puisse me l'enfoncer dedans. Je pris soin de faire en sorte que mes dents ne l'effleurent pas. Je n'avais pas envie que ce type me frappe. Il me faisait vraiment peur.

  • Bouffe ! Mieux que ça !

Il était presque assis à cheval sur mon cou et j'avais du mal à respirer pourtant je m'appliquai vraiment. Il se releva et mis mes jambes sur ses épaules. Je savais qu'il fallait que je me décontracte. L'odeur et le goût de son sexe était restées dans ma bouche et je trouvais ça parfaitement dégueulasse pourtant je me concentrais pour qu'il puisse me prendre sans me faire trop mal. Il enfila une capote qui se trouvait sur la table de chevet et cracha dans ses doigts afin de lubrifier mon anus. Je fermai les yeux.

Il me titilla un instant puis entra en moi. C'était plutôt agréable tout compte-fait et ses aller retour m'arrachèrent quelques gémissements. Il se pencha alors sur moi et enfonça sa langue dans ma bouche. C'était bizarrement excitant. Ce mec horrible était en train de me faire prendre mon pied. Il accéléra le mouvement et je me laissais écraser par son torse. Mes jambes entouraient son bassin. C'était excellent.

Il se retira, ôta la capote et éjacula sur mon torse et mon visage. L'odeur de son sperme était forte comme celle de son corps mais mon dégoût était passé. Il resta un instant comme ça et me libéra sans dire un mot. Je retournai dans la salle de bain pour me doucher à nouveau. Il me rejoignis dans la douche et je dus le laver avec une éponge. Nous n'avons pas échangé plus de cinq mots.

Il retourna se coucher et resta dans la chambre presque jusqu'au retour d'Yvan le soir.

  • Alors, t'as passé une bonne journée ?

  • Ouais, j'ai baisé ta petite pute et j'ai dormi.

  • Alors ?

  • Ben, je préfère les meufs mais il a un bon cul et il obeit bien. Tu l'as bien dressé.

  • C'est un bon début en effet mais tu verras, dans quelques mois, il sera encore mieux.

Il se tourna vers moi :

  • Maintenant, occupe-toi de moi. Enlève mes pompes et masse-moi les panars.

Je m'exécutai. Le soir, après le dîner, Yvan me baisa encore plus v i o l emment que d'habitude alors que Sélim était reparti faire la fête en ville. Il resta quatre jours et je m'arrangeais pour ne pas trop le croiser car, bizarrement, je n'avais plus du tout envie qu'il me touche. Quand il fut reparti, il m'avait sauté trois fois en tout mais ce ne fut que la première fois que j'y ai pris quelque chose qui ressemblait à du plaisir.

Difficile pour moi de dater le premier week end que nous avons passé dans la maison qu'Yvan possédait près de Valence. Je pense que c'était en novembre ou en décembre. Il faisait beau et froid. J'avais été surpris qu'il me dise que nous devions y aller le week end car, depuis que je partageais sa vie, il ne m'avais jamais parlé de cette propriété. Evidemment, Laurent était de la partie ainsi que Jean-Christophe, qui devait être son amant du moment. Jean-Christophe était plus jeune, il avait un peu un look de skinhead, les cheveux rasés, des jeans troués et des piercings aux tétons qui se voyaient parfaitement sous les pulls à col roulé moulant qu'il portait. Il avait une personnalité qui contrastait fortement avec son physique : il était assez timide.

Nous partîmes donc le vendredi soir dans la voiture d'Yvan. Les deux copains devant et Jean-Christophe et moi à l'arrière. Je ne participais pas à la conversation sauf si Yvan m'interrogeait (ce qui n'arrivait pas très souvent). J'étais surpris de voir que Jean-Christophe, que j'avais déjà vu une ou deux fois mais peu entendu, parlait assez facilement. Il semblait à l'aise avec les deux compères.

Nous fîmes la route dans une ambiance affable mais j'étais très intimidé par l'aisance des trois autres. Il faut vous rappeler qu'à l'époque, j'étais très jeune et la relation que j'entretenais avec Yvan n'était guère propice au développement de ma confiance en moi.

La maison était très isolée. C'était une ancienne ferme qui comportait un étage où se trouvaient les chambres. Elle était glacée et Yvan se précipita pour allumer la chaudière. La rénovation avait du coûter une fortune car tout dans la maison était ultra moderne y compris la cuisine. Yvan m'indiqua la cave et m'ordonna sèchement d'aller chercher une bouteille de vin et des steaks dans le congélateur. Je descendis l'escalier et ouvrit la porte. Là se trouvait un petit cellier. Je me saisis des steaks et de la bouteille qu'il m'avait dit d'aller chercher et je vis qu'une autre porte se trouvait dans le fond de la pièce. J'étais assez curieux et je l'ouvrit. Ma stupéfaction fut grande. Derrière la porte se trouvait un pièce voutée avec une croix de Saint-André, un carcan d'une drôle de forme ainsi que des dizaines de fouets, cravaches et objets de toutes sortes. Je refermais la porte et remontais vivement. Je savais qu'Yvan pratiquait le SM mais j'ignorais qu'il fut aussi bien équipé ! Tout cela plus le froid qui régnait dans la maison me fit frissonner.

Je fis cuire les steaks et préparai une salade que nous avions rapporté. Les trois autres étaient confortablement installés au salon devant un feu de cheminée et sirotaient un apéritif. Yvan aimait le whisky et le bon et il adorait épater ses invités en lui en offrant. A aucun moment il ne me suggéra de se joindre à eux. Nous dînâmes et je me rendis compte que la maison commençait à se réchauffer tout à fait correctement. Je demandais donc à mon seigneur et maître l'autorisation d'ôter mon pull. Cette attitude soumise sembla amuser beaucoup Jean-Christophe et Laurent.

Yvan me regarda d'un air très glacial. J'ai eu soudain l'impression d'avoir fait ou dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Je baissai les yeux. Il commença à sourire. Il proposa à ses potes de leur faire visiter la maison. Je me suis tout de suite douté que son attitude cachait quelque chose. Nous nous sommes levés. J'ai débarrassé les assiettes et je les ai mises dans le lave-vaisselle puis j'ai rejoint les autres à l'étage. Il y avait quatre chambres. La mienne était la plus petite. Jean-Christophe s'étonna que nous ne dormions pas ensemble. Yvan répondit que je devais rester à ma place et que je devais venir le matin le rejoindre. Nous redescendîmes et prîmes la direction de la cave. Je commençais à comprendre que j'allais sans doute assurer le spectacle vu la pièce que j'avais découvert. Je commençais à avoir à nouveau froid.

Yvan fit durer le plaisir en indiquant à Laurent les meilleures bouteilles de sa cave. Jean-Christophe semblait s'ennuyer, il n'avait pas bu de bordeaux à table, je devinais que tout cela ne l'intéressait pas et que, s'il était venu avec nous, c'était parce qu'il espérait faire un plan à plusieurs d'ailleurs, il y avait fait des allusions à peine voilées à table. Laurent tendis la perche à Yvan en lui demandant ce qu'il y avait derrière la seconde porte de la cave. Je n'étais pas dupe, il était déjà venu à de nombreuses reprises et il savait très bien ce qui se cachait là. Par la suite, je me suis rendu compte que Laurent ne pratiquait pas vraiment le SM mais il adorait mater.

Yannick ouvrit la porte. Jean-Christophe eut l'air ébahi mais Laurent connaissait manifestement l'endroit malgré ses efforts pour le cacher. Nous entrâmes dans la pièce.

  • Voici mon terrain de jeu !

  • Ouah - s'exclama Jean-Christophe - Y'a du matos ! Tu te sers de tout ?

  • Ouais mais je ne suis pas venu depuis le début de l'été. Je n'avais pas de soumis à utiliser.

Il me regarda d'un air mauvais et m'ordonna de me déshabiller sans autre forme de procès. Je m'exécutais sans discuter. Je retirai mon sweat shirt, mes baskets, mon jean et je me retrouvais en calbut et chaussettes devant les trois salauds qui me regardaient d'un air excité et goguenard. Je tremblais un peu. Je me demandais ce qui allait m'arriver. Laurent était en train d'allumer de grosses bougies et de baisser les lumières. J'avalais ma salive.

  • A poil j'ai dit ! Hurla Yannick.

En tremblant, j'ôtais mon slip et mes chaussettes. Il expliqua à ses potes, qu'il avait tout construit lui-même et surtout l'espèce de chevalet qu'il allait utiliser, que le carcan devait enfermer les pieds pendant que les lanières retenaient le corps pendant la punition.

Je dus prendre place. Un trou avait été prévu pour que le sexe du puni ne soit pas collé contre son ventre. Yvan et Laurent fixèrent le carcan sur me pieds et serrèrent les lanières autour de mon corps et de mes bras. J'étais prêt à recevoir la correction que mon maître avait prévu pour moi.

Je ne brillais pas. J'étais attaché comme un condamné médiéval se préparant à la question. Les trois salopards allaient assister à ma punition et j'étais sûr que ça allait leur plaire.

Yvan se saisit d'une espèce de fouet plat avec trois lanières. Laurent se cala dans un fauteuil. J'avais peur. J'aurais presque pissé dans le trou mais je me retenais car j'avais vraiment peur que ça soit pire si je me retrouvais en faute. Yvan m'expliqua que j'allais devoir prendre dix coups pour commencer et qu'il fallait que je les compte. "Un, deux, trois... "je soufflais et gémissais à chaque coup. Je sentais ma peau se contracter et chauffer. J'appréhendais chaque nouveau coup terriblement. Je pouvais voir l'oeil excité de Laurent et entendre les commentaires de Jean-Christophe :

  • Putain, l'état de son cul ! S'exclama-t-il après le quinzième coup.

Je dus bien prendre les vingt et les compter. J'étais endolori de partout et l'humiliation était extrême. J'avais certes déjà été puni mais jamais devant témoin et en plus, là, je n'avais rien fait pour le mériter.

Yvan tendis la lanière à Jean-Christophe et lui proposa de continuer. Il ne se fit pas prier et mes fesses furent mordues par des coups rapprochés. Je hurlais. Les larmes coulaient sur mes joues malgré moi.

J'avais l'impression que mon cul se déchirait sous les coups de lanières du jeune salaud. Il était à peine plus âgé que moi et, dans d'autres circonstances, il aurait pu être à ma place. Je suppliais Yvan et je suis certain que ça le faisait bander. Au bout d'un temps qui me parut interminable, il ordonna à Jean-Christophe d'arrêter. Je soufflais, pleurais, j'étais en sueur. La douleur de mes fesses était intense. J'avais l'impression d'être en S a n g alors que j'allais m'en tirer avec un simple bleu le lendemain.

Yvan se leva et vint me détacher.

Il ouvrit la braguette de son jean et m'ordonna de le sucer. Jean-Christophe lui demanda l'autorisation de se faire sucer aussi et il lui fit signe de nous rejoindre. Je leur vidai donc les couilles dans ma bouche et sur mon visage (pour Jean-Christophe). Yvan m'envoya me coucher et leur servit un un autre whisky.

Monté dans ma chambre, j'essuyai mes larmes. Je goût du sperme et la douleur que je ressentais m'excita et je me masturbai avec énergie jusqu'à éjaculer dans un mouchoir.

Partie 4

Quelques semaines plus tard, Yvan m'annonça qu'il allait partir en Bretagne dans sa famille pour Noël. Il me demanda si j'allais monter moi aussi rendre visite à mes frères. Rien n'était prévu si ce n'était un petit coup de fil à mes parents. Le lendemain, il m'appris qu'il refusait de me laisser seul à Lyon pendant les fêtes. J'ai tout d'abord cru qu'il allait me proposer de l'accompagner et je m'en réjouissais mais j'ai très vite déchanté. Il me dit tout de go qu'il allait me confier à Robert, un de ses amis. L'idée m'épouvanta. Il allait me remettre entre les mains d'un parfait inconnu.

C'est le surlendemain que je fis la connaissance de Robert. Je trouvais déjà que la différence d'âge entre Yvan et moi était importante, je fus totalement atterré lorsque je vis que le copain en question avait pratiquement la soixantaine. Certes, il était élégant et séduisant mais quand même, s'il fallait qu'on couche ensemble, ça allait être bizarre.

Robert était affable, charmant et souriant mais cette attitude me sembla suspecte. Je me demandais ce que ça cachait.

Très vite, il me mit à l'aise en me disant que nous allions bien nous entendre. J'étais un peu rassuré. Peut-être qu'il allait se comporter comme un vieil oncle charmant et que je n'aurais qu'à lui tenir compagnie. Je me dis que, finalement, la séparation avec Yvan n'était pas grave et que je serai très excité lorsque nous allions nous retrouver.

Je me débrouillais donc pour me montrer le plus charmant possible lorsqu'il vint s'installer dans l'appartement d'Yvan au

début des vacances de Noël. J'avais préparé un dîner très sympa et demandé à Yvan l'autorisation de déboucher une bouteille de vin pour notre invité. Il avait souri et accepté. J'allais donc me retrouver tout seul avec Robert puisque mon maître était parti dans la journée pour sa Bretagne natale.

Robert arriva toujours aussi affable. Il portait un costard impeccable et un manteau en cachemire magnifique. J'ai toujours évolué dans un milieu plutôt aisé mais je n'avais jamais vu quelqu'un qui avait autant de classe. Pourtant, j'allais vite me rendre compte que derrière cette élégance, se cachait un sadique de la pire espèce doublé d'un homme ayant un solide appétit pour le sexe. Nous dînâmes d'une manière assez agréable, parlant de tout et de rien, de mes études etc. Il semblait vraiment s'intéresser

à ce que je faisais. Vers minuit, je commençais à être un peu plus à l'aise avec lui et il m'informa qu'il avait envie d'aller se coucher mais qu'il me sauterait demain matin au petit déjeuner. Il m'expliqua en deux mots, qu'il aimait faire ça le matin mais qu'il fallait que j'ai tout préparé et que je sois allé lui chercher des croissants. Sur ce, il se retira dans la chambre d'Yvan et me laissa ébahi dans le salon.

Vu le ton employé par Robert, le lendemain matin, je me levai à 6 h 30 et me précipitai à la boulangerie la plus proche. Une fois rentré, je préparai du café, du thé, du jus d'orange et un plateau en espérant qu'il avait plaisanté la veille au soir.

Il se leva vers 7 h 30 et, à moitié habillé, il entra dans la cuisine une capote à la main.

-J'espère que tu as un jockstrap. Ca m'excite bien.

Je lui dit qu'en effet, j'en possédai un et il m'ordonna de courir l'enfiler avant la "petite séance de baise du matin". Je revins quelques secondes plus tard vêtu de ce sous-vêtement et de rien d'autre et je commençais à le sucer. Les poils gris de son sexe et de son ventre me faisaient un drôle d'effet. Il était remarquablement bien foutu et je me pris à aimer le toucher. J'enfonçais son sexe dans ma bouche et, d'une manière experte, je le léchais de partout. Il me renversa sur la table et enfila la capote. Il me bouffa le cul d'une manière très sensuelle et me fit gémir d'un plaisir que je n'avais encore jamais éprouvé jusque-là. J'adorai la sensation de

lui obéir et de le laisser faire ce qu'il voulait de moi. C'était à la fois grisant et très bizarre. Je crois que Robert m'excitait beaucoup plus que ce que je voulais admettre mais je trouvais cette relation sexuelle à la fois inepte et terrible. Il me pénétra avec le moins de b e s t i a l i t é possible et fit des allés et retour en moi en tenant mes chevilles. C'était excellent. Il éjacula dans la capote et, sans se préoccuper de l'état d'excitation dans lequel il m'avait mis, il se retira et acheva de s'habiller sans avoir touché au plateau du petit déjeuner. Il murmura un vague "à ce soi" avec un air entendu et sortit sur le palier, me laissant là, à moitié nu, avec une théière fumante et un préservatif usagé près de ma tête.

La semaine s'écoulait avec toujours le même rituel. Robert me baisait le matin et sinon j'avais quartier libre toute la journée. Je me baladais, allais au cinéma, boire un café avec des copains. Le jour de Noël, il me laissa seul pour aller déjeuner avec sa famille. Finalement, j'aimais assez cette période même si Yvan me manquait. J'ai très rapidement cessé de trouver Robert excitant. Il était résolument trop vieux pour moi et même s'il était très doué pour le sexe, une fois l'attrait de la nouveauté passé, j'attendais que le plan cul du matin passe en essayant de penser à autre chose.

Je ne sais s'il s'en est rendu compte mais dès le lendemain de Noël, son attitude a changé. Il a commencé à exiger plus de choses de moi, notamment de dormir avec lui. Je m'exécutais de bonne grâce même si je supportais assez mal qu'il me tripote sans arrêt. Il avait de plus en plus envie et j'avais sa bite dans la bouche à tout bout de champ. Il me pinçait cruellement les tétons alors qu'il me baisait et se montrait de plus en plus désagréable au quotidien.

Le surlendemain, il décréta que j'étais rentré trop tard et m'ordonna de baisser mon jean et mon slip et de venir me mettre en travers de mes genoux. Il commença à me fesser comme un gosse pris en faute. Son air mauvais me faisait un peu peur car je

ne comprenais pas son attitude. Ses mains frappaient mes fesses durement. Tout en lui avait changé. Tout d'abord, il n'était pas en costume car il n'avait pas travaillé et ensuite, sa bienveillance à mon égard paraissait s'être envolée tout à coup. Après la séance, il m'obligea à le sucer et plus je résistais plus cela lui plaisait. Il éjacula sur mon visage et me tartina avec son sperme avant de m'envoyer me doucher d'un ton sec.

Nous avions passé la nuit ensemble et j'avais de plus en plus de mal à supporter qu'il me touche. Le lendemain, je lui demandai l'autorisation d'aller à la bibliothèque afin de réviser pour mes partiels de janvier. Après la petite séance de baise matinale, il accepta et proposa même de me déposer avant d'aller travailler. Toute la journée, j'eus du mal à me concentrer tant j'appréhendais le retour le soir.

Sur le coup des 17 h, je repris le métro pour rentrer avec une peur incommensurable. J'arrivais à l'appartement une demi-heure plus tard. Là, Robert m'attendait avec deux autres mecs bcbg en buvant un whisky. Il était à nouveau dur lorsque j'entrai. Il se leva et m'envoya une gifle en plein visage sous le regard goguenard des deux autres. Je compris ce qu'il voulait lorsqu'il me regarda d'un air mauvais et qu'il me gueula :

  • A poil petit bâtard et vient d'occuper de mes invités !

Les deux autres rigolaient et se tripotaient. Je me déshabillais comme je pouvais et vint me mettre à genoux entre eux pendant qu'ils s'embrassaient.

L'un d'eux était particulièrement séduisant et je commençais à me sentir excité tout en les suçant à tour de rôle. Robert me donnait des ordres : "Passe ta langue", "Mieux que ça", "t'as envie d'être puni ?". Les deux autres s'embrassaient, se tripotaient. sans me regarder. Robert vint se joindre à eux et déshabilla celui qui me plaisait. Il me gifla à nouveau et m'ordonna d'enlever leurs pompes. Je m'exécutais sans discuter. Il me relevèrent brutalement et me penchèrent sur le bureau d'Yvan. Robert commença à titiller mon anus en m'obligeant, en me tenant la tête, à sucer le mec qui me plaisait.

J'étais totalement offert et je le savais. Je trouvais la situation assez excitante mais je perdais complètement le contrôle de mon corps. Je vis un emballage de préservatif tomber au sol et je senti que l'un d'eux me pénétrait. J'essayais de me détendre le mieux possible pour ne pas avoir mal. J'entendis leur commentaires : "Putain quel cul", "défonce le bien", "tu la sens salope ?". Je gémissais mais la bite du beau mec m'empêchait un peu de respirer. C'était super inconfortable. Les coups de reins s'accentuaient et je gémissais de plus en plus. "Il aime ça ce petit con" dit Robert. "Allez, laisse-moi la place". Le beau mec me tenait par la nuque avec une main et immobilisait un de mes poignets avec l'autre. Il éjacula bientôt sur mon visage tandis que les coups de reins de Robert me faisaient bouger. Le bois du bureau me faisait mal. L'autre type passa devant moi et m'enfonça sa bite qui sentait le latex dans la bouche. Le sperme de son pote qui était resté sur mon visage maculait les poils de son pubis. L'odeur était forte mais surtout je commençais à aimer les coups de bites de Robert. Le second mec éjacula à son tour sur mon visage et mon b o u r r e a u se retira pour jouir sur mon dos. Il m'envoya du sperme jusque dans les cheveux. J'éjaculai sur le sol quelques gouttes sans me toucher.

Lorsqu'il me lâcha, je me laissais tomber sur le tapis du salon.

  • Allez, à la douche ! dit le beau mec en me surveillant du coin de l'oeil en se rhabillant.

Je filai dans la salle de bain. Lorsque je revins, Robert s'était changé et les deux autres étaient partis.

  • Habille-toi et sers-moi un whisky.

  • Oui, Robert.

  • Ca t'a plu ?

  • C'était intense.

  • Tu leur a donné du plaisir et à moi aussi. Tu es une vraie petite pute. Tu devras être puni tu le sais ?

  • Oui Robert. Répondis-je en baissant les yeux.

Il me regarda en buvant son whisky et commença à faire l'inventaire des objets de la commode. Il en sortit une planchette et m'ordonna de venir sur ces genoux. J'avais à peine eu le temps de remettre mon slip mais j'obéis.

Il me bloqua avec son avant-bras et commença à me frapper durement d'entrée. Ma peau n'avait pas eu le temps de s'habituer et je me tortillais de douleur et de gémir à chaque coup de planchette. C'était très dur à supporter. Au bout du dixième ou douzième coup, j'avais l'impression d'avoir les fesses si irritées que je ne pourrais plus m'asseoir. Il continua encore pendant de longues minutes, ponctuant ses coups de "bâtard", "salope", "putain"...

Lorsqu'il finit par me lâcher, il m'ordonna de lui servir son dîner et m'envoya dans ma chambre. J'étais soulagé qu'il n'ait plus envie de baiser car je n'en pouvais plus et je n'avais pas envie de dormir avec lui. Le lendemain, Yvan était de retour. Il lui raconta par le menu le plan cul de la veille et lui affirma que j'avais pris mon pied. Il lui dit en rigolant qu'il y avait de l'argent à se faire avec moi. Par la suite, je n'ai que très rarement revu Robert mais à chaque fois, je ressentais un mélange de plaisir et d'appréhension.

Pour la petite histoire, je reçus une autre fessée par Yvan le soir même. Il me reprochais d'avoir pris mon pied sans avoir demandé l'autorisation de mon gardien.


Je vous ai déjà parlé de Jean-Christophe, le petit ami de Laurent à cette époque et qui s'était déjà bien lâché sur moi lorsque nous étions allés dans la maison de campagne d'Yvan quelques mois auparavant. Je ne l'avais pas beaucoup revu jusqu'à ce matin des vacances de février. Lorsque je n'avais pas cours, j'avais un rituel : après avoir satisfait mon Master qui me "nourrissait" avec son sperme tous les matins, je prenais mon petit déj et je me préparai pour aller étudier soit chez mes parents soit à la bibliothèque de la fac d'histoire. Si j'envisageais de boire un café avec un copain ou un des membres de ma famille qui vivait encore dans la région, je demandais à Yvan l'autorisation mais c'était rare. Ce jour-là, j'avais prévu d'aller dans l'appartement vide de mes parents. J'étais presque prêt lorsque l'on sonna à la porte. Ma première envie fut de ne pas répondre mais on insista aussi je me décidai à aller ouvrir.

Quelle ne fut pas ma surprise en voyant que mon visiteur n'était autre que Jean-Christophe. Il faisait encore plus petite frappe que d'habitude avec ses cheveux hyper courts, son jean moulant et son bombers. Je dois avouer que je le trouvais séduisant. Je lui demandai ce qu'il faisait là.

  • Yvan m'a proposé de passer pour que je puisse te baiser. Il a dit que tu devais faire tout ce que je t'ordonnerai. J'avais envie de me vider les couilles et on baise pas beaucoup avec Laurent.

Je savais pertinemment qu'il me disait la vérité aussi ne discutais-je pas et le laissais-je entrer. Je n'avais pas vraiment envie de sexe mais bon, s'il fallait en passer par là pour satisfaire Yvan, j'allais obéir. Jean-Christophe était loin d'être laid et j'aurais pu tomber pire. Je lui proposai un café qu'il accepta en prenant ses aises dans le salon. Il avait un côté arrogant et très désagréable mais vraiment, ce jour-là, je le trouvais attirant.

Je m'eff o r ç a is d'être agréable même si je n'avais pas f o r c é ment envie de passer à la casserole à ce moment-là. Je me dis que c'était pour Yvan et que j'allais être bien obéissant. Jean-Christophe me regardait des pieds à la tête comme on reluquerait un esclave sur le marché que l'on s'apprête à acheter. Il m'ordonna de me déshabiller ce que je fis sans discuter. Au bout de quelques secondes j'étais à genoux devant lui, nu comme un verre et les mains sur la tête. Il m'ordonna de lui ôter ses baskets et ses chaussettes et de "nettoyer ses panards". Je n'avais pas du tout envie de ce genre de délire mais je n'osais pas résister. Je fis donc ce qu'il voulait. Il portait des chaussettes de tennis blanches et sans me laisser le temps de les lui enlever, il enfonça un de ses pieds dans ma bouche. En même temps, il enleva son pull et son tee shirt. Il était beaucoup plus fin que les hommes de l'entourage d'Yvan avec lesquels j'avais eu des relations sexuelles mais j'aimais bien son physique. J'essayais de ne pas l'énerver car je voulais me contenter de la baise. Je n'avais pas envie qu'il me punisse. Je savais qu'il en était capable.

J'ai eu à peine le temps de penser cela qu'il bondit du canapé comme un léopard et me jeta par terre. Il me gifla. "T'es une pute. Dis que t'es une pute !". "Tu vas morfler !". Il m'attrapa par les cheveux et me traîna jusqu'à ma chambre. Manifestement, Yvan avait tout prévu car il n'hésitait pas. Il avait apporté son sac à dos avec lui et je compris que j'allais être puni. Il me jeta sur le lit. Il n'était pas vraiment costaud mais avait une f o r c e peu commune. Il sortit de son sac une badine en bois et m'immobilisa d'une main.

Il commença à me frapper en se tenant au dessus de moi. Il n'y allait pas de main m o r t e. "Arrête de bouger petite pute ou je t'éclate la gueule !". Il tapait fort, je le suppliai d'arrêter mais il redoubla de v i o l ence. Il me faisait horriblement mal à chaque coup mais je prenais sur moi pour ne pas broncher. J'avais vraiment peur de lui.

La punition continua de plus belle. J'avais vraiment mal. Je gémissais à chaque coup. "Tu m'excites, salope !". Il continuait encore et encore. C'était terrible. Je me tortillais comme une anguille. Je suppliai "Arrête, je n'en peux plus." mais ça le motivait encore plus et il recommençait à me frapper. "Yvan a dit que t'aimais ça !".

Mes fesses étaient dans un état terrible, j'étais tombé du lit et il continuait de me frapper alors que j'étais sur le sol. Soudain, il laissa tomber sa badine et ouvrit les boutons de braguette de son jean. "Tu vas y passer ! A quatre pattes !". Tremblant, je lui obéis et m'installai à quatre pattes sur le lit, cambrant mon cul endolori du mieux que je pouvais. Il enfila une capote et jeta l'emballage sur le sol. Il cracha dans mon cul et entra d'un coup sec m'arrachant un cri que j'étouffai en enfouissant ma tête dans la couette. Je n'aime pas qu'on rentre brutalement en moi. J'avais mal et je cherchais malgré moi à me dégager puis, en quelques instants, heureusement, la douleur disparut et je pu le laisser me pilonner. Ses coups de reins étaient secs et saccadés. Je commençais à bander dur. Il attrapa ma queue et me branla en même temps. "Je savais que t'aimais ça". Il me faisait mal tant il me serrait le pénis. Il éjacula dans la capote et m'obligea à faire de même sur la couette puis il me repoussa en avant et je tombais à plat ventre sur mon sperme.

Il jeta la capote pleine sur le sol et me dit d'un air mauvais : "maintenant t'as plus qu'à nettoyer". Il enfila son slip, attrapa son jean et s'en fut dans le salon pour terminer de s'habiller me laissant là, avec les fesses en compote et baignant dans mon sperme. Quelques secondes plus tard, je l'entendis sortir de l'appartement.

Je me levais tant bien que mal et nettoyais toute la chambre. Je rangeais le salon. Je dus même changer mes draps. Le soir, Yvan rentra de bonne heure et m'interrogea :

  • Alors, c'était bien avec Jean-Chris ?

  • Il m'a fait un peu mal.

  • Arrête de faire ta chochotte. Je lui avais dit d'y aller à fond. Je suis content de toi car il m'a dit qu'il avait pris son pied.

  • Je crois oui.

  • Allez, baisse ton fut et montre-moi tes fesses.

Je m'exécutais. J'avais le cul un peu rouge et bleu et encore chaud du matin. Yvan passa la main dessus et me gratifia d'un "c'est bien". Contre toute attente il me prit dans ses bras et m'embrassa avec une certaine douceur.

Etienne

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